Instagram RSS

Sur l’arrestation de Mariam Abu Daqqa, militante palestinienne

Alors que l’état d’Israël bombarde sans relâche la bande de Gaza et que le gouvernement français refuse d’appeler clairement à un cessez-le-feu, la militante palestinienne Mariam Abu Daqqa a été arrêtée hier et est assignée à résidence en attente de son expulsion. Venue de Gaza pour une série de conférences sur la situation en Palestine, Mariam AbuDaqa a d’abord été empêchée, le 9 octobre dernier, d’intervenir à l’Assemblée Nationale, où elle était invitée par la députée LFI-NUPES Ersilia Soudais. Puis, interdite à deux reprises de conférence dans les Bouches-du-Rhône, elle

Lettre ukrainienne de solidarité avec le peuple palestinien

« Nous, chercheurs et chercheuses, artistes, militant·es politiques et syndicaux ukrainien·nes, membres de la société civile, sommes solidaires du peuple de Palestine qui, depuis 75 ans, subit et résiste à l’occupation militaire israélienne, à la séparation, à la violence coloniale, au nettoyage ethnique, à la dépossession des terres et à l’apartheid. Nous écrivons cette lettre de peuple à peuple. Le discours dominant au niveau gouvernemental et même parmi les groupes de solidarité qui soutiennent les luttes des Ukrainien·nes et des Palestinien·nes crée souvent des séparations. Par cette lettre, nous rejetons

Halte au massacre à Gaza ! La France doit exiger un cessez-le-feu immédiat ! Dans la rue le 4 novembre !

L’armée israélienne soumet la Bande de Gaza à des bombardements d’une violence inouïe et à un blocus total qui prive la population d’eau, de nourriture, de médicaments. Les hôpitaux, lorsqu’ils fonctionnent, opèrent aujourd’hui sans anesthésiques. En Cisjordanie occupée, la population palestinienne est soumise à la violence redoublée de l’armée et des colons ainsi qu’à un bouclage du territoire. Nous demandons un cessez-le-feu immédiat à Gaza, la fin des bombardements, des offensives terrestres et des déplacements forcés de populations, ainsi que la levée immédiate du blocus. Nous exigeons que la France

Pas de paix sans justice

Pas de paix sans justice, une fois de plus ce slogan s’inscrit dans la réalité des chairs meurtries, des civils tués, des prises d’otages dans ce qui semble un engrenage sans fin d’une violence qui semble ne jamais devoir s’arrêter. Dépasser l’émotion devant les actes de terreur du Hamas et les représailles aveugles et meurtriers de l’État d’Israël contre la population civile de Gaza, avec une catastrophe humanitaire en route, est une nécessité absolue si nous voulons sortir de cet engrenage. La qualification précise de tous ces actes relève du

Pour une paix juste et durable, nous refusons la criminalisation du soutien au peuple palestinien

L’horreur a frappé le 7 octobre dernier et depuis, la Palestine et Israël s’y enfoncent chaque jour davantage. Tueries massives de civils menées par le Hamas, du massacre de Réïm aux charniers des Kibboutz de Be’eri et Kfar Aza, crimes de guerre de l’État d’Israël contre la population de la bande de Gaza et exactions meurtrières des colons en Cisjordanie : la Palestine et Israël sont le théâtre d’atrocités sans nom. Et plongée dans les ténèbres, la catastrophe a déjà commencé à Gaza, menacée d’une intervention terrestre de l’armée israélienne

Halte au massacre à Gaza ! La France doit demander un cessez-le-feu immédiat.

Nous exigeons l’arrêt immédiat des opérations militaires contre la Bande de Gaza. L’offensive menée par l’Etat d’Israël contre la population de la Bande de Gaza, ses habitations, ses infrastructures est d’une violence sans précédent. Nous condamnons les crimes de guerre commis par des commandos du Hamas contre des civils israéliens, crimes qui ont coûté la vie à plus de 1400 personnes dont des centaines de femmes et d’enfants. Comme tout peuple opprimé, le peuple palestinien a le droit de résister, mais rien ne peut justifier de tels actes. Ces crimes

Pétition lancée par l’AFPS : halte au massacre à Gaza

Nous exigeons l’arrêt immédiat des opérations militaires contre la Bande de Gaza. Il faut stopper la logique de vengeance dans laquelle s’est engagé le gouvernement israélien, au mépris de la vie et des droits humains élémentaires de la population palestinienne de Gaza. Ce sont des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité qui visent aujourd’hui les hommes, les femmes et les enfants. Les crimes de guerre commis par des commandos du Hamas contre des civils israéliens ne peuvent en rien justifier qu’Israël commette d’autres crimes avec l’aval de ses

Déclaration de la Gauche Ecosocialiste sur la situation en Palestine et en Israël

Depuis samedi dernier, les informations se succèdent sur les crimes atroces commis par les combattants du Hamas contre des civil·es israélien·nes, notamment dans les villages communautaires proches de la frontière sud de Gaza. Le bilan humain de ces actions terroristes approche aujourd’hui 1000 victimes. Le massacre d’hommes, de femmes, de jeunes gens et d’enfants, les prises d’otages, y compris encore d’enfants, sont des faits impardonnables qui nous glacent d’effroi. Rien ne saurait justifier ces actes de terreur contre les civil·es. Nous les condamnons avec la plus grande fermeté. Cette attaque

Toutes les vies comptent, toutes sans exceptions. 

Depuis presque 20 ans, je suis une militante engagée pour la cause palestinienne. Toutes ces années je me suis documentée, j’ai rencontré des militant•es de valeurs, notamment des membres de l’AFPS 63 qui m’ont fait découvrir ce qu’est concrètement la « résistance palestinienne », celles des syndicalistes, des paysan•nes, des étudiant•es, ou encore celle de la coopérative Al Sanabel. Toutes ces femmes et ces hommes qui au quotidien résistent à la colonisation et à l’apartheid (en montant des syndicats pour gagner des droits dans leur usine, en produisant de quoi

La terreur ou la paix

Samedi dernier, l’attaque envers les Israéliens nous a glacés d’effroi. Cinquante ans après le début de la guerre du Kippour, le Hamas a choisi la terreur. Et c’est dramatique. Les images qui nous parviennent depuis sont effrayantes. Des civils sont tués par centaines, des commandos entrent dans les maisons et attaquent, des bébés et des enfants sont enlevés, 250 personnes ont perdu la vie dans une « rave party »… Je pense aussi à cette vidéo où l’on voit une femme exposée nue à l’arrière d’un pick up et des hommes qui crachent sur son

Communiqué de l’organisation de la gauche radicale israélienne Standing Together.

Le cœur souffre. Brisé et déchiré. Rien ne peut être dit pour réconforter les familles et les amis des nombreuses personnes qui ont été tuées, ou pour calmer ceux qui s’inquiètent des disparus et des personnes enlevées. Une attaque aussi terrible contre des citoyens dans leur maison est un crime incompréhensible, et nous sommes brisés et blessés et prions, comme tout le monde, pour que ce terrible événement prenne fin. Ce que nous avons vu aujourd’hui est le résultat de l’insistance du gouvernement à nous mener tous dans une impasse,

Gaza : l’échec de la politique israélienne d’enfermement du peuple palestinien

L’offensive menée depuis la Bande de Gaza par des groupes armés palestiniens, revendiquée notamment par le Hamas, est d’une ampleur sans précédent. Des sites militaires israéliens ont été investis, notamment à Sderot et au poste de Karem Abu Salem, qui est le seul point de passage des marchandises depuis le resserrement du blocus de Gaza. Dans le même temps, des milliers de roquettes étaient tirées, dans une attaque massive mettant en échec la défense anti-missiles israélienne. Il est d’abord important de qualifier cette opération pour ce qu’elle est : une opération

Israël-Palestine : pour une paix juste et durable, stop à l’escalade !

L’offensive armée de forces palestiniennes menée par le Hamas intervient dans un contexte d’intensification de la politique d’occupation israélienne à Gaza, en Cisjordanie et à Jérusalem Est. Nous déplorons les morts israéliens et palestiniens. Nos pensées vont à toutes les victimes. L’escalade actuelle risque d’entraîner un cycle de violences infernales. La France, l’Union européenne et la communauté internationale doivent agir sans délai pour empêcher cet engrenage. Dans l’immédiat, il faut obtenir un cessez-le-feu et la protection des populations. Toutes les parties doivent revenir à la table des négociations. Pour qu’une