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Marche unitaire le 23 septembre 2023

Pour la fin du racisme systémique, des violences policières, pour la justice sociale et les libertés publiques Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique

Notre pays est en deuil et en colère.

Notre pays est en deuil et en colère. Le meurtre de Nahel tué par un policier à bout portant à Nanterre, a mis à nu les effets de décennies de politiques publiques discriminatoires et sécuritaires ciblant notamment les quartiers populaires et la jeunesse qui y grandit et particulièrement les personnes racisées et précarisées. L’escalade des violences est une impasse et doit cesser. La conception essentiellement répressive de la police, et l’évolution législative de 2017 sur l’usage des armes de service, aggravent ce que la population vit et subit que ce

Pour un plan d’urgence “Justice partout”

La mort du jeune Nahel dans la matinée du 27 juin à Nanterre a déclenché dans le pays une vague d’émotion et de colère. Elle a aussi agi comme une étincelle, déclenchant un mouvement de révolte dans de nombreuses villes du pays, qui exige d’urgence une réponse politique. Face à cette situation, le gouvernement s’enferme dans une escalade sécuritaire verbale qui ne fait qu’aggraver la situation. Il cherche à se défausser de sa propre responsabilité en ciblant la France insoumise pour mieux masquer son incompétence et son incapacité à agir. Par la même,

Pas de paix durable sans justice sociale

Après l’assassinat de Nahel et la révolte dans les quartiers populaires, des mesures d’urgences pour établir la justice et l’égalité. La mort terrible à Nanterre du jeune Nahel, 17 ans, abattu par un agent de police mardi 27 juin lors d’un contrôle routier, a entraîné une explosion de colère dans la jeunesse des quartiers populaires. Ce tir à bout portant sur un adolescent, alors qu’aucun danger direct ne menaçait ni l’agent, ni son collègue, également incriminé, s’apparente à une exécution. Les images ne laissent à ce sujet aucun doute, et

Vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan !

« Ils les ont percuté volontairement ! Appelez les pompiers, n’enlevez pas le casque, ne les mettez pas plus en danger, c’est pas normal ce qui se passe. C’est des enfants », la vidéo et les commentaires de l’une des témoins du drame sont glaçants. Le jeudi 13 avril, un peu après 23h30, aux dires des témoins, une voiture de police percute volontairement lors d’une course-poursuite le scooter de 3 adolescents de 17, 13 et 14 ans qui rentraient chez eux. Aujourd’hui, la plus grande qui conduisait le scooter est hospitalisée dans un

Pourquoi nous n’irons pas à la manifestation des organisations policières du 19 mai 2021…

Sous couvert d’hommage aux policiers tués récemment dans l’exercice de leurs fonctions, une marche revendicative est organisée ce 19 mai 2021 devant l’Assemblée nationale. Le groupe parlementaire de la France insoumise s’est toujours associé aux hommages républicains rendus à celles et ceux qui ont payé de leur vie leur engagement pour le pays. Nous refusons de participer à l’instrumentalisation politique de celles et ceux qui, fonctionnaires de la police nationale ou militaires de la gendarmerie nationale, sont morts lâchement assassinés par des criminels. Nous avions également demandé une commission d’enquête

En défense des libertés ! (communiqué unitaire)

A l’appel des groupes parlementaires de France Insoumise, une réunion a été proposée à tous les partis et toutes les organisations politiques de gauche et écologiques pour examiner, ensemble, les conditions d’une expression commune voir d’initiatives. Tout en regrettant le refus de plusieurs partis de s’associer à cette réunion unitaire et pour d’autres de s’associer à une déclaration commune, un certain nombre d’organisations présentes, jugeant essentiel de s’opposer en commun à la dérive de l’exécutif, ont tenu à aller jusqu’au bout de la démarche. Voici leur déclaration.  La chasse aux

Darmanin, Lallement dehors !

Elle est insupportable la vidéo qui, pendant quinze minutes, nous montre le violent passage à tabac d’un producteur de musique par trois policiers, accompagné de propos racistes. Cette agression a été jusqu’au lancement d’une grenade lacrymogène dans le local de répétition et l’arrestation des dix-sept jeunes qui s’y trouvaient. Insupportable les fausses déclarations de ces trois policiers accusant cette personne de « violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique et de rébellion ». Une enquête est ouverte par l’IGPN à l’encontre de ces policiers pour « violences volontaires en réunion avec arme et à

« Sécurité globale » : liberté d’informer bâillonnée.

« Sécurité globale, impunité totale », « Violences partout, images nulle part », « Police floutée, justice aveugle », « Baissez vos armes, nous baisserons nos téléphones ». Samedi 21 novembre, des milliers de manifestant.e.s ont dénoncé, à Paris et dans plusieurs villes, le projet de loi de « surveillance » globale défendu par Darmanin au nom du gouvernement et ont affirmé leur volonté de s’opposer à ce projet scélérat. Caméras de surveillance, drones survolant les manifestations, floutage des policiers, tentative d’accréditation des journalistes auprès de la préfecture, notamment, bafouent

Ainsi parlait Assa Traoré

Dans l’atmosphère pesante et douloureuse de la crise sanitaire et du début de confinement, les manifestant.e.s du rassemblement devant le TGI ce 2 juin 2020 ont vécu un enthousiasme collectif. À l’appel d’Assa Traoré et du Comité Vérité et Justice pour Adama, 20 000 personnes ont répondu présentes malgré l’interdiction avancée par la préfecture de Police. Après les rebondissements de la journée et l’annonce d’une expertise confirmant le rôle du plaquage ventral dans la mort d’Adama, cette manifestation a couronné des années de combat que mène la famille.  Cette foule

Solidarité avec Assa Traoré contre l’intimidation judiciaire

Assa Traoré mène un combat inlassable pour obtenir vérité et la justice pour son frère Adama Traoré mort dans les mains de la gendarmerie en 2016 dans le cadre du Comité La Vérité pour Adama. Cette lutte s’inscrit dans une démarche globale contre les violences policières, la répression, le racisme structurel et les reculs sociaux. La dernière marche annuelle pour Adama fin juillet en a été la démonstration éclatante. Tous les frères d’Assa Traoré ont été poursuivis en justice. Cette fois, c’est elle qui est poursuivie… par les gendarmes mis

Manifestation de policiers devant le siège de la FI

Alliance a appelé aujourd’hui à manifester devant le siège de la France Insoumise, pour montrer son désaccord avec les positions du groupe parlementaire FI à propos des questions de sécurité et des violences policières. Il s’agit là d’une tentative d’intimidation et de pression contre un mouvement politique jamais vue ces dernières années. Le Ministre de l’Intérieur n’aurait pas dû le permettre. Nous condamnons cette manifestation, qui est une provocation de l’extrême droite policière. En s’attaquant à la France Insoumise, c’est à toute la gauche, à tous les démocrates qu’Alliance s’attaque.

3ème édition de la Marche pour Adama : un succès et des perspectives

Le 20 juillet 2019 s’est tenu la 3ème édition de la marche pour réclamer justice et vérité pour Adama Traoré, jeune homme noir de 24 ans à Beaumont-sur-Oise, mort dans les mains de la gendarmerie en juillet 2016. Cette 3ème édition a réuni plusieurs milliers de personnes qui ont marché de la gare de Persan-Beaumont au quartier de Boyenval où vivait Adama Traoré pour un meeting suivi d’un concert. Alors que le risque de l’oubli augmente forcément à mesure que les années passent, il est important de relever que la

20 juillet : marche pour soutenir le « combat Adama » et « riposter à l’autoritarisme »

Le 20 juillet 2019 à Beaumont-sur-Oise, cela fera trois ans qu’Adama Traoré est mort assassiné par la police. Trois ans que sa famille et ses proches se soulèvent pour demander la justice et la dignité dans la rue, dans les tribunaux, dans les médias. Trois ans qu’un quartier entier est soumis au harcèlement judiciaire, policier, et aux patrouilles militaires. Le 20 juillet 2019, nous, Gilets jaunes, habitants de quartiers populaires, collectif de soutien aux exilé-e-s, habitants de territoires en lutte, syndicalistes, collectifs écologistes, paysan-ne-s, anti-nucléaires, collectifs antifascistes, organisations nationales, appelons tout le monde