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Elections sénatoriales : malgré la désunion, soutenons les listes portant le programme NUPES

Le 24 septembre, les grand·es électrice·eurs de la moitié des départements sont appelé·es à renouveler leurs sénateur·rice·s. Même si cette élection suscite peu d’intérêt dans la société, c’est la première élection depuis les présidentielles et législatives de 2022, et à ce titre elle aurait dû constituer une opportunité de porter le programme de la NUPES qui répond aux urgences sociales, écologiques et démocratiques auxquelles notre pays est confronté. Nous regrettons qu’aucun accord national n’ait pu être trouvé entre les différentes composantes de la NUPES et que l’accord historique des élections

L’union est un combat et une culture

Avec les insoumis, nous avons la conviction que l’union aux élections européennes est le meilleur chemin pour gagner en 2027. D’ailleurs, les sondages le montrent (1), le peuple de gauche et des écologistes plébiscite une liste de la Nupes aux européennes. Benoît Hamon, Sandrine Rousseau, Jérôme Guedj ou encore Elsa Faucillon traduisent cette aspiration dans leurs prises de position. En défrayant la chronique avec son annonce aux « Amfis » à Valence, Ségolène Royal a le mérite de poser le débat sur l’union à l’échelle du grand public. Une course contre la montre est

Partielles en Ariège : la victoire de la réaction

Dimanche dernier, notre candidate et ancienne députée Bénédicte Taurine, FI/Nupes a été battue par Martine Froger, candidate soi-disant socialiste dissidente. Le score est certes sans appel, mais tant la participation que le soutien obtenu par la candidate dissidente, doivent nous interpeller. Sans doute que le terme de réaction à l’encontre des soutiens de Mme Froger dans cette élection ariégeoise, peut paraître outrancier. Mais pourtant il est à tout à fait pertinent de qualifier de réaction quand on parle du front qui s’est retrouvé à soutenir la candidate de Mme Téqui,

Législatives en Ariège : le dimanche 2 avril, votez et faîtes voter pour Bénédicte Taurine !

Dimanche dernier, Bénédicte Taurine, FI/NUPES, candidate à sa propre succession, s’est qualifiée pour le second tour des élections législatives partielles en Ariège. Son adversaire sera Martine Froger, candidate dite dissidente du PS (en réalité suspendue de celui-ci depuis juin dernier), d’un PS local anti-Nupes, soutenu par la présidente de région social-libérale et « Macron-compatible », Carole Delga. Au premier tour, la candidate de Renaissance a essuyé une défaite cinglante, arrivant en 4ème positon alors qu’elle avait franchi le pas du deuxième tour en juin dernier. Quant au RN, à l’origine

Tous et toutes derrière Bénédicte Taurine en Ariège !

Le 26 mars et le 2 avril, on revote dans la première circonscription de l’Ariège, après la décision du conseil constitutionnel qui a annulé le scrutin de juin dernier. En cause, des erreurs de distribution de matériels de vote. Le RN qui avait perdu la marche du deuxième tour de 8 voix, a saisi le conseil constitutionnel qui lui a donné raison. Dans un contexte bien particulier, celui de la mobilisation et de la lutte contre la « réforme » des retraites imposée par Emmanuel Macron, la campagne en faveur de notre

NUPES : en avant pour la victoire !

La Convention d’investiture de la Nouvelle union populaire écologique et sociale, tenue samedi à Aubervilliers (station de métro Front populaire !), a lancé dans l’enthousiasme la campagne commune pour les législatives. L’objectif est clairement fixé : permettre au bloc populaire d’être majoritaire avec la volonté d’exercer le pouvoir pour mettre en oeuvre le programme de la NUPES. Avec, la semaine dernière, le vote de 62 % des membres du Conseil national du Parti socialiste en faveur de la participation à la « Nouvelle union populaire écologique et sociale » (NUPES),

Clémentine Autain : « Le tournant historique qui s’opère aujourd’hui vient de loin »

La députée de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain a toujours eu une particularité au sein de La France insoumise : l’union de la gauche n’a pour elle jamais été un gros mot. Elle a toujours tenté de marier les différentes boutiques (surtout les écologistes et les communistes). Aujourd’hui, après la signature avec les Verts et en attendant l’aboutissement des échanges avec les roses et les rouges, elle ne cache pas sa joie. L’union à gauche est en train de se construire après l’accord avec les écolos en attendant celui avec les socialistes et les

L’intelligence du « peuple de gauche »

Ce qui paraissait impossible se présente sous nos yeux. Une union du « bloc populaire » où la partie gauche de l’alliance domine sur toutes les questions programmatiques essentielles. Comme le rappelle en substance le vieil Hegel, la chouette de la connaissance prend son envol à la tombée de la nuit. Et nous savons maintenant que si alliance il y a en définitive, ce ne pouvait être que dans ces conditions, dominée par sa gauche. Une partie, encore minoritaire mais massive, de l’électorat ne supportait décidément plus les atermoiements avec

Marine Le Pen doit être battue !

Pendant tout son mandat, E. Macron a mené une politique de casse sociale, de démantèlement du service public, de répression des mobilisations, de dérives liberticides (loi sur le « séparatisme », loi « asile et immigration »…) au service des plus riches. A coup de polémiques nauséabondes (sur le pseudo « islamo-gauchisme » par exemple), E. Macron et ses ministres ont également banalisé les discours de l’extrême-droite et attaqué toutes celles et tous ceux qui se sont dressés contre ces idées. Loin d’être un barrage à l’extrême-droite en général, En

« L’extrême droite et Macron, ce n’est pas pareil »

Que représenterait une victoire de l’extrême droite, dimanche ? Un terrible voyage au bout de la nuit. Il ne faut pas oublier que l’extrême droite cible d’abord les minorités, en particulier les étrangers, les musulmans et les habitants des banlieues populaires. Les femmes, ciblées par une misogynie constitutive de leur identité politique, en seront les premières victimes. L’extrême droite fera de l’État de droit des cocottes en papier. La liberté sera sous surveillance, et la politique antisociale, que nous contestons chez Macron, se poursuivra. C’est un cocktail dangereux quand nous connaissons

Le Pen : danger mortel

Jean-Luc Mélenchon a manqué le 2d tour à 400 000 voix. 400 000 voix qui auraient redonné espoir, confiance, et épargné au pays l’épreuve des jours qui nous séparent du 24 avril, marqués par un débat polarisé entre un président sortant au bilan catastrophique qui annonce vouloir encore durcir sa politique anti-sociale au service des plus riches, et une Marine Le Pen qui surfe sur le dégagisme mais sur fond de vernis social illusoire, avec le racisme comme boussole et des alliés néofascistes en Europe et dans le monde. Le bilan de

Après le premier tour de la Présidentielle

La campagne de la Présidentielle s’est déroulée dans un contexte bien singulier, masquée en partie par la crise sanitaire et la guerre en Ukraine, handicapée par l’absence de véritable engagement dans la campagne de Macron qui a de fait empêché le débat contradictoire qui aurait pu avoir lieu. Elle n’est entrée dans la réalité des couches de la population les moins intéressées par les enjeux électoraux actuels que fort tardivement. Bien sûr, nous sommes déçus, tristes et inquiets, du résultat de ce 1er tour. Déçus parce que notre campagne méritait