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Partielles en Ariège : la victoire de la réaction

Dimanche dernier, notre candidate et ancienne députée Bénédicte Taurine, FI/Nupes a été battue par Martine Froger, candidate soi-disant socialiste dissidente. Le score est certes sans appel, mais tant la participation que le soutien obtenu par la candidate dissidente, doivent nous interpeller. Sans doute que le terme de réaction à l’encontre des soutiens de Mme Froger dans cette élection ariégeoise, peut paraître outrancier. Mais pourtant il est à tout à fait pertinent de qualifier de réaction quand on parle du front qui s’est retrouvé à soutenir la candidate de Mme Téqui,

Législatives en Ariège : le dimanche 2 avril, votez et faîtes voter pour Bénédicte Taurine !

Dimanche dernier, Bénédicte Taurine, FI/NUPES, candidate à sa propre succession, s’est qualifiée pour le second tour des élections législatives partielles en Ariège. Son adversaire sera Martine Froger, candidate dite dissidente du PS (en réalité suspendue de celui-ci depuis juin dernier), d’un PS local anti-Nupes, soutenu par la présidente de région social-libérale et « Macron-compatible », Carole Delga. Au premier tour, la candidate de Renaissance a essuyé une défaite cinglante, arrivant en 4ème positon alors qu’elle avait franchi le pas du deuxième tour en juin dernier. Quant au RN, à l’origine

La bataille des retraites a commencé !

« Macron, regarde ta Rolex, c’est l’heure de la révolte », slogan, manifestation de Toulouse, jeudi 19 janvier dernier. L’hiver s’annonce chaud. Pas à cause du réchauffement climatique, mais parce que jeudi 19 janvier, malgré le froid et la pluie glaçante parfois, nous avons été plus d’un million, voire deux millions d’après les organisations syndicales, à avoir battu le pavé dans toutes les villes de France. Le projet Macron ne passe pas à tel point qu’une intersyndicale unie (tous les syndicats y sont) a appelé à faire grève et à

Delga de gauche ?

Avec l’accord historique signé avec le PS, nous prouvons que l’Union Populaire a su s’élargir et rassembler l’ensemble des forces de gauche du pays. C’est inédit et c’est une opportunité pour faire basculer le pays à gauche lors des élections législatives le 12 et 19 juin prochains, et ainsi “d’élire” Jean Luc Mélenchon premier ministre. Mais au PS, certain·es, dont Mme Delga, présidente de la région Occitanie, refusent cet accord, arguant du fait qu’il ne saurait y avoir entente entre le PS et la FI, deux gauches irréconciliables selon eux.

Macron, le candidat du recul social et du passéisme libéral

Si en 2017 le candidat Macron avait pu tromper son monde en se présentant comme le candidat d’un monde nouveau, transcendant la gauche et la droite, le président-candidat de 2022 ne peut plus en dire autant. Depuis son intervention dans un long monologue empreint d’autosatisfaction sur son propre bilan, le 17 mars dernier, le président Emmanuel Macron a précisé les grandes orientations de son programme. Sans grande surprise, celui-ci est libéral, anti-social voire réactionnaire par certains aspects. Et une fois de plus, Macron a fait la démonstration de son positionnement

Urgence sociale, et si on interdisait les licenciements ?

J’en conviens, le titre et son contenu surtout, peuvent paraître ambitieux. Mais au fond rien de tel dans ce développement. Une réflexion et une proposition pour faire face à la crise sociale terrible qui sévit. Une volonté, celle d’essayer de répondre à la détresse et à la colère que je constate au quotidien, devant les boîtes, des salariés-e-s en lutte contre les licenciements et les suppressions d’emplois qui les menacent et qui menacent des bassins de vie entiers. La proposition que je soumets au sein de ce texte, n’est pas issue de ma

Situation sanitaire : école en danger !

Alors que le confinement a été décidé le 29 octobre dernier, tous les établissements scolaires ont tous réouvert le 2 novembre, après les vacances de la Toussaint, avec un nouveau protocole sanitaire. Après l’avoir allégé en septembre, Jean Michel Blanquer, ministre de l’éducation, a décidé de le renforcer suite à l’annonce du confinement. Or en réalité, il n’en est rien. Pour améliorer les conditions sanitaires, il faudrait dès à présent davantage de personnels et de moyens, pour assurer un nettoyage quotidien à la hauteur, mais aussi modifier l’organisation pédagogique, avec

Liberté, égalité, fraternité, pour une autre République en commun

Suite à l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, en tant qu’enseignante et élue de la France Insoumise, j’ai souhaité réagir et faire part à la fois de mon expérience et de mes réflexions et rendre hommage à mon collègue enseignant, Samuel Paty. J’ai souhaité répondre aussi à tous ceux qui ont déversé leurs flots de haine et de fiel, tentant d’instrumentaliser ce drame atroce. Alors que j’avais commencé à écrire ces lignes, un autre attentat islamiste a fait trois victimes de plus à Nice. Sidérée devant tant d’horreur et d’abomination. Faire front ensemble,

Pas de masques gratuits pour les enseignant-e-s, mais dangereux pour leur santé !

L’Éducation Nationale pourrait avoir distribuer des masques dangereux et inefficaces en terme de protection, aux enseignant-e-s. Il est également nécessaire de vérifier si des élèves n’en ont pas été destinataires. En effet suite aux révélations du site d’information Reporterre ( https://reporterre.net/L-Education-nationale-a-t-elle-distribue-des-masques-toxiques-aux-enseignants ), nous souhaitons alerter les institutions scolaires et l’opinion sur la nocivité très probable des masques distribués à la rentrée principalement aux enseignant-e-s. Pourquoi ces masques sont ils potentiellement toxiques pour la santé? Parce qu’ils sont traités à la zéolithe d’argent. Cet élément peut s’accumuler dans le corps et peut être

Des masques gratuits pour tous les élèves !

Le ministre de l’Education Nationale JM Blanquer a encore frappé. A propos de la rentrée scolaire, il a déclaré que les masques seraient obligatoires dans les collèges et les lycées, mais qu’ils seraient à la charge des familles ! Sauf pour les familles en très grandes difficultés. Quelle générosité M le Ministre ! Mais l’indécence de M. Blanquer ne s’arrête pas là puisqu’il explique sans rire que « les masques feraient partie des fournitures scolaires », rappelant sans honte, qu’après tout le gouvernement « avait majoré l’allocation de rentrée de 100 euros pour

Second tour des municipales : Toulouse condamnée à la droite six ans de plus

La déception était plus que palpable dimanche 28 juin à Toulouse au QG de la liste Archipel. Antoine Maurice, tête de liste (membre d’EELV) était devancé de presque 4 points par le maire sortant, JL Moudenc (LR soutenu par LREM). Grande déception donc et incompréhension car l’espoir était fort de l’emporter pour les candidat-e-s et les soutiens de la liste Archipel citoyen. En effet jusqu’à la veille du scrutin, même avec un tout petit écart, la liste d’Archipel était donnée gagnante devant le maire de droite. Que s’est-il donc passé ?

Elections municipales : un deuxième tour aux multiples enseignements

Le deuxième tour des municipales le 28 juin dernier, s’est déroulé dans un contexte inédit, la crise sanitaire liée au Covid 19, et donc trois mois après le premier tour. Ce contexte doit être pris en compte notamment pour expliquer une abstention record, de l’ordre de 58,4 %, du jamais vu à ce type d’élections. Mais la crise sanitaire ne peut à elle seule expliquer une telle abstention. Elle est l’expression de la crise démocratique extrêmement grave que connaît notre pays depuis longtemps : nombreux et nombreuses sont ceux et celles

Pas une voix ne doit manquer pour Archipel Citoyen !

Le 28 juin prochain se tiendra le deuxième tour des élections municipales. A Toulouse, ce vote revêt un enjeu particulier. La possibilité de battre enfin la droite, aux manettes dans notre ville depuis plus d’un demi-siècle avec une seule interruption, s’offre à nous, Toulousains et Toulousaines. La quatrième ville de France est devenue une métropole difficile à vivre au quotidien, embouteillages monstres, insuffisance des transports en commun, une ville polluée. Mais aussi une ville où le maire actuel non seulement ne se préoccupe pas des inégalités mais les a creusées.