A chaque nouvelle provocation des groupuscules d’extrême-droite, après les agressions de militants ou de réunions publiques, à Lyon, par exemple, après la manifestation parisienne du 6 mai, après les pressions et les démonstrations de force contre les élus à Callac ou à Saint Brévin, on nous ressort le terme « ultra-droite », catégorie qui ne nomme rien, n’explique rien et sert la confusion politique. Le raid à Romans sur Isère de plusieurs dizaines de militants nationalistes révolutionnaires ou identitaires, venus de la France entière, mobilisés par une dizaine de groupuscules locaux, plus