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SILENCE ! Une campagne publicitaire agressive dans le tram…

Lettre ouverte au Maire de Montpellier « …Que cherchez -vous ? Vos messages /Arrivent au bateau déformés; /Votre amour devient haine, /Votre sérénité tourment; /Et je ne peux me retourner /Pour voir vos visages sur la rive… » (« Solidarité » Georges Séféris) Jamais on ne pourrait imaginer en se déplaçant dans le tram, que nous sommes dans une ville avec un maire socialiste… Chaque arrêt de tram nous glace le coeur et nous ramène à un contexte de loi martiale répressive, une ambiance de « dictature » morale…  La bienvenue gratuité des transports en métropole (bienvenue, bien que limitée ! ),

Oui à la gratuité des transports à Montpellier. Allons plus loin !

Depuis 2016, de nombreux collectifs locaux à travers la France militent pour la gratuité des transports publics de proximité, considérée comme une nécessité urgente pour la vie en zone urbaine. À Montpellier, depuis le 21 décembre 2023, c’est chose faite : les transports en commun publics dans la Métropole sont gratuits, mais uniquement pour les habitant·es de la métropole. C’est un premier pas, que notre mouvement politique demandait depuis plus de 15 ans. Cela démontre que les idées de gauche et écologistes progressent, ce qui est une très bonne chose.

Sauver l’emploi, oui, le transport aérien, non !

Le secteur aérien est une des principales victimes de la pandémie qu’il a contribué à propager. Début avril, le nombre global de vol était 80% plus bas qu’un an plus tôt au même moment. Près de la moitié des compagnies dans le monde sont aujourd’hui menacées de faillite. Depuis le début de la crise, l’Association internationale du transport aérien (IATA) a révisé quatre fois ses prévisions sur l’évolution du chiffre d’affaires du secteur. En mars, elle tablait sur une crise limitée à trois mois, entraînant une perte de 252 milliard

Automobiles et transports par route : tout doit changer !

En quelques jours, une avalanche d’annonces (fermetures d’usines, suppression de 15 000 emplois chez Renault) nous place dans un « monde d’après » dramatique. Alors que la crise sanitaire n’est pas terminée, la crise sociale fait des ravages. Brutalement, une crise s’ajoute à la précédente. Mais l’épidémie ne l’a pas amplifiée : les annonces avaient été différées. L’automobile mondiale, longtemps au cœur de l’expansion capitaliste d’après-guerre, traverse une crise sans issue. Tout, absolument tout, doit changer dans cette industrie dont toute la chaine productive est incompatible avec une société se