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Non à la casse du service public ferroviaire ! Pour la défense et le développement de tous les services publics !

Tribune unitaire. Le mouvement unitaire du 22 mars a constitué un beau premier succès en défense du service public. En réponse, le gouvernement apporte pour seule perspective la casse de la SNCF. Elle s’accompagne d’une attaque frontale contre les cheminot-es, la préparation de la privatisation de l’entreprise publique via la mise en concurrence et la fermeture programmée de milliers de kilomètres de voies ferrées . Depuis trop longtemps, l’abandon progressif du transport de marchandises par train qui s’est traduit par la fermeture de gares de triage et la prime accordée

Les médias et Macron : retour au temps de l’ORTF…

Avec la nomination du pro-macroniste Bertrand Delais à la tête de LCP, le président de la République est-il en train de réinventer un ministère de l’Information ? La macronie aurait-elle commencé à célébrer, de façon funèbre, le cinquantenaire de Mai 68 ? Le Président laisse en tout cas se dégager un parfum d’ORTF. La décision de nommer Bertrand Delais à la tête de LCP, La chaîne parlementaire, sonne comme une provocation, une marque de profond mépris pour l’indépendance des médias publics comme pour le pluralisme. Bertrand Delais n’a pas seulement des accointances avec

« La “liberté d’importuner” n’est rien d’autre qu’un privilège masculin »

Tout mouvement d’émancipation suscite une réplique réactionnaire. Comme un hoquet, plus ou moins violent, signant le refus voire une forme d’angoisse à l’égard d’un bouleversement des normes existantes. #metoo, moment de rupture historique pour la libération des femmes et du désir, n’y a pas échappé. En réplique, la tribune des 100 femmes revendiquant la « liberté d’importuner » a cristallisé la réaction, traînant son éternel procès en puritanisme et enfermement victimaire, des critiques à l’égard des discours féministes aussi vieilles que le féminisme lui-même. En matière de séduction et de

Euthanasie et suicide assisté

Nous savons que le droit à vivre humainement, dans un pays riche comme la France, est loin d’être une réalité dès la naissance du fait des inégalités territoriales, sociales et hommes-femmes. Les conditions de la mort connaissent autant d’inégalités. Bien plus, le droit à mourir, la liberté d’un individu face à une maladie incurable, des souffrances insupportables, l’épuisement de ses capacités à préserver ce qu’il estime être “vivre”, ce droit et cette liberté n’existent pas, sont passibles de poursuites et de condamnations. Alors que s’ouvrent les États généraux de la