Depuis 15 jours, les chauffeurs de la ville de St-Denis sont en grève. Il ne nous appartient pas, en tant qu’élu-es de la ville, de commenter le détail de leurs revendications. Nous en retiendrons l’essentiel : ils refusent une baisse de leur pouvoir d’achat. Ce refus est légitime. Comme nous l’avons exprimé en séance du conseil municipal, dès le 31 janvier dernier, si la municipalité doit aux habitant-es de notre ville un effort d’économie afin de tenir sur l’essentiel à l’heure où le gouvernement organise la pénurie de nos moyens,