Le Premier Mai 2018, à Paris, c’est dans les suites de la manifestation réprimée jusque par des chasses aux manifestants dans les rues de Paris, qu’ Alexandre Benalla frappe un jeune homme interpellé préalablement par le vacataire de l’Élysée Vincent Crase, non sans avoir au préalable violenté sa compagne. Ainsi Benalla frappe un homme désarmé à terre que les CRS cogneront à leur tour. C’est un très proche de Macron qui avait obtenu la permission d’aller casqué et armé accompagner les CRS ce jour de grande manifestation. Il a pu agir comme
Macron
Une brute qui jaillit dans la lumière.
Les photographies d’Alexandre Benalla se multiplient. Cet homme de l’ombre âgé de 26 ans est devenu une vedette. On sait qu’il fut au service d’ordre du PS, qu’en juillet 2016, il fut nommé à la Délégation interministérielle aux Outre-mer, alors que, François Hollande est chef de l’État (et Manuel Valls Premier ministre), qu’il n’y fit pas grand chose, et après quatre mois, il a finalement rejoint l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron (cf France info). Pistonné, bon à rien, brutal et ayant un goût pour la traîtrise : digne de devenir un homme de
L’affaire « Benalla » est en réalité l’affaire « Macron-Collomb »
Depuis que le journal Le Monde a révélé que l’assistant sécurité au cabinet d’E.Macron, A.Benalla, se déguisait en CRS pour molester des manifestants pacifiques et des passants à partir d’une vidéo d’un camarade de la FI, chaque jour – sinon chaque heure- apporte une nouvelle information. Et nous n’avons probablement pas fini d’avoir de nouvelles révélations. Au regard de tous les éléments disponibles ayant trait à l’affaire proprement dite où au contexte général, l’affaire Benalla doit désormais être considérée comme l’affaire « Macron-Collomb » et est un révélateur d’une situation politique globale.