La Coupe du monde de football féminine s’est terminée le dimanche 7 juillet. Ce mondial aura été marqué par la visibilité de sportives lesbiennes ou bi, leurs prises de positions politiques et une audience croissante. Si ce constant est encourageant, les inégalités demeurent importantes, notamment dans le pays des gagnantes états-uniennes. Une visibilité croissante… Lors de cette édition, le site Outsport a dénombré 40 professionnelles ouvertement lesbiennes ou bi sur 24 équipes: c’est deux fois plus que lors du mondial de 2015. La finale qui opposait les USA aux Pays-Bas