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L’UP en meeting à Nantes

Près de 250 personnes se sont retrouvées samedi 26 mars au meeting de l’Union Populaire à Nantes malgré un horaire compliqué, la concurrence de la grande braderie, d’un soleil magnifique incitant à se rendre au vert ou à la plage, l’arrivée tardive du matériel de propagande et l’absence d’annonce dans la presse locale. A la tribune, Sabine Lalande , conseillère régionale, Alama Dufour et Margot Medkour membres du Parlement de l’Union Populaire et Clémentine Autain députée se sont chacune félicitées de la composition exclusivement féminine de l’affiche sans pour autant

La campagne à Rennes…

Malgré une préparation à l’arrache, nous pouvons dire que cette journée rennaise du 8 février a été une réussite. Le point d’orgue a été le meeting à la Cité, animé par nos 2 députés Eric Coquerel et Clémentine Autain . Notre bonne vieille salle historique n’avait pas vu depuis longtemps une telle affluence pour un réunion politique, puisque la jauge officielle de 350 places a été atteinte… Précisons aussi que nous sommes en période peu favorable avec les vacances d’hiver. Après la présentation de Florent et Laure animateur/trice, 2 membres du

Interview à Médiapart de Clémentine Autain sur les Ouïghour·es

Jeudi 20 janvier, La France insoumise a été le seul groupe à s’abstenir lors du vote de la résolution déposée par le groupe PS à l’Assemblée nationale visant à reconnaître le génocide contre la minorité ouïghoure en Chine. La députée Clémentine Autain était au perchoir, jeudi, pour défendre la position de La France insoumise. Pourtant très engagée dans la cause des Ouïghour·es, la députée de Seine-Saint-Denis explique à Mediapart pourquoi elle a choisi « en conscience » de s’abstenir, à l’instar de ses trois autres collègues de banc (Ugo Bernalicis, Danièle Obono et Mathilde Panot),

L’endométriose : reconnaître l’enfer au quotidien

«C’est dans ta tête», «c’est normal d’avoir mal pendant ses règles», «tu es tout le temps fatiguée», «tu as pensé à aller voir un psy ?», «tu devrais changer de partenaire si tu as mal pendant les rapports», «tu es une chochotte»… Ces phrases, de très nombreuses femmes les entendent au quotidien lorsqu’elles expriment leurs douleurs liées à une maladie trop méconnue du grand public et des institutions : l’endométriose. Cette affection chronique, inflammatoire et incurable, correspond au développement de la muqueuse utérine qu’est l’endomètre en dehors de l’utérus pour venir toucher d’autres organes.

Macron, le mépris décomplexé du peuple

Avançant sa candidature à la présidentielle, Emmanuel Macron a choisi la brutalité. Avec un terme de langage particulièrement familier, “emmerder”, le Président espère peut-être se rapprocher d’un peuple qu’il se représente comme vulgaire. Ce qui est sûr, c’est qu’il creuse le sillon de son mépris chaque jour plus décomplexé vis-à-vis des catégories populaires. D’une certaine manière, Macron a tombé le masque. Les mots d’une vision du monde S’il a franchi un nouveau cap, ce n’est pas la première fois qu’il insulte et bannit. Dès 2014, on se souvient que, ministre de l’économie, Macron avait

Clémentine Autain : « Notre culture politique favorise les passages à l’acte violents envers les femmes »

Je m’étonne de tant d’étonnements. Le #metoo politique, appelant à « écarter les auteurs de violences sexuelles et sexistes » de la vie politique [tribune parue dans Le Monde du 16 novembre] a enclenché une vague de stupéfaction qui traduit une dramatique incompréhension. Comment ignorer que notre culture politique favorise les passages à l’acte violents envers les femmes ? Déjà en 2011, les commentateurs se succédaient pour exprimer leur incrédulité devant l’affaire Dominique Strauss-Kahn. On s’en souvient, il n’y avait « pas mort d’homme » [selon l’ancien ministre Jack Lang], et si le patron du Fonds monétaire international